TRANQUILLITE RESIDENTIELLE EN COPROPRIETE
Le centre de ressources GUSP et Grenoble-Alpes Métropole vous invitent à une après-midi d'échanges sur le thème:
TRANQUILLITE RESIDENTIELLE
EN COPROPRIETE
Syndics, conseils syndicaux, bailleurs sociaux, associations, villes, métropole... :
Quels rôles et apports de chacun ? Comment mieux prévenir les situations
et agir ensemble au quotidien ?
Jeudi 16 novembre 2023
de 13h45 à 18h
Au siège de Grenoble-Alpes Métropole
en salle Rocher Blanc
1 place André Malraux, 38000 Grenoble
INSCRIPTION gratuite et obligatoire ici
>> https://urlz.fr/nOyk <<
Qu’ils se traduisent par la dégradation des parties communes (vandalisme, salissures, encombrants ou jet de détritus au sol…), par l’occupation abusive des espaces communs (squats dans des garages, trafics..) ou encore par des atteintes aux relations de voisinage (nuisances sonores,...) les troubles à la tranquillité résidentielle ont un fort impact sur la qualité de vie des habitants et peuvent dégrader l’image d’une résidence, parfois même d’un quartier. Ils peuvent aussi conduire certains habitants à souhaiter vendre leur bien et/ou déménager.
Sur la Métropole grenobloise, comme dans d’autres territoires, la majorité des logements en milieu urbain appartiennent à une copropriété (70% des logements de la métropole grenobloise) et les constructions neuves actuelles sont majoritairement produites sous forme de copropriétés. Les copropriétés sont soumises à des règles de gestion et décisions collectives spécifiques. Les gestionnaires des copropriétés (syndics) sont sollicités par les habitants et les partenaires pour résoudre les troubles à la tranquillité résidentielle. Parfois, face à la complexité ou la récurrence de certaines situations, les interventions possibles d’un syndic (pouvant aller du rappel au règlement intérieur, au dialogue amiable, à la sollicitation des forces de sécurité...) sont très limitées et ne suffisent pas à endiguer le problème.
Des retours d’expériences de terrain montrent que, au cas par cas, d’autres acteurs (tels que des acteurs de la prévention et de la gestion de proximité des villes et de la métropole, élus, bailleurs sociaux (de plus en plus copropriétaires), associations de défense des droits, acteurs de l’intermédiation locative, conciliateurs de justice, travailleurs sociaux...) interviennent aussi parfois à leurs côtés pour trouver des pistes de résolution face à des troubles à la tranquillité résidentielle d’une copropriété déjà bien installés.
C’est à partir de ces constats qu’un collectif d’acteurs coordonné par le centre de ressources GUSP (composé d’acteurs publics de l’habitat, de la prévention de la délinquance, de bailleur social, de syndic solidaire, d’association de défense de copropriétaires) a souhaité organiser cet après-midi d’échanges. Ouverte à tous (syndics, conseillers syndicaux, associations, villes, métropole, élus, opérateurs spécialisés…), cette rencontre a pour objectifs de partager les constats et les expériences et d’identifier collectivement des leviers pour mieux prévenir et gérer les troubles à la tranquillité résidentielle dans les copropriétés.
INSCRIPTION (gratuite et obligatoire)
via ce formulaire en ligne: https://urlz.fr/nOyk