Relation élus/habitants/techniciens

Retour sur l'atelier d'échanges:

COLLECTIVITES, BAILLEURS, ASSOCIATIONS ET HABITANTS :

Comment coopérer pour améliorer le cadre de vie ?

Du 22 septembre 2021, 30 participants

Maison de l'Habitant de Pont-de-Claix

LE METIER DE COORDINATEUR.TRICE GUSP :

Echanges en marchant entre les acteurs des métropoles grenobloise et lyonnaise

15 participants – le 19 juillet 2022, sur 3 lieux : Maison de l’Habitant de Pont-de-Claix, Agence du quotidien d’Échirolles et Place Gallimard à Grenoble

Rénovation énergétique, bâtiments neufs à basse consommation, éco-gestes, jardins partagés, gestion différenciée des espaces verts, écoquartiers, etc … Dans les logements ou sur l’espace public, les actions en faveur d’une ville plus « durable » se généralisent ou s’expérimentent sur de nombreux territoires. La transition énergétique est une préoccupation montante et partagée, qui impacte directement le cadre de vie. Cependant, les retours d’expériences montrent qu’à l’usage, la ville durable peut poser des difficultés dans le quotidien.

Le quartier « la Plaine » a été identifié quartier prioritaire de la politique de la ville à l'été 2014. Les acteurs de Saint-Marcellin (ville, bailleurs sociaux, CCAS, État, habitants, communauté de communes...), sont aujourd'hui au démarrage d'une structuration d'une démarche GUSP. Nouvellement engagés dans cette démarche, ces acteurs ont souhaité partager avec le réseau des acteurs de la GUSP leurs avancées, points de blocages et leurs perspectives en les conviant à venir visiter les secteurs Gare, Beausoleil et Jean Rony. 

Cette soirée d'échanges organisée par l'association MakeSense Grenoble en partenariat avec Déclic Collectif a réuni une trentaine de participants.

Le centre de ressources GUSP est intervenu sur le thème lors d'une table ronde au côté d'un habitant, d'une salariée d'agence de design collaboratif et d'un professionel de la métropole grenobloise.

Mixité sociale, d’usage, résidentielle... La mixité revêt diverses formes et repose sur la possibilité que vivent ou se côtoient, dans un même immeuble ou sur un même territoire, des populations aux profils socio-économique et culturel différents, aux statuts d’occupation et aux parcours résidentiels divers. La mixité sociale est souvent considérée comme l’un des leviers pour améliorer le lien social et la qualité de vie des habitants.

La présence de dépôts sauvages et d'encombrants ont un impact fort sur la qualité du cadre de vie et pose de vraies difficultés de gestion au quotidien. Ce constat est partagé tant par les collectivités locales, que par les bailleurs sociaux, les associations, les régies de quartier ou les habitants.